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SAN BAUDELIO DE BERLANGA

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Remarques préliminaires

  • A pesar de haber sido declarada Monumento Nacional en 1917, sus pinturas fueron vendidas a varios museos norteamericanos en 1922, aunque parte de ellas han vuelto al Museo del Prado en 1957.
  • Debido a las especiales características del edificio y sus pinturas, ha existido una gran controversia respecto a su fecha de construcción, aunque en la actualidad es considerada generalmente como de finales del siglo XI.
  • Todas las fotos de esta ficha y la primera línea de la galería fueron tomadas antes de la última restauración de San Baudelio, cuando se habían retirado gran parte de las pinturas originales que quedaban. Las de la segunda línea de la galería son actuales, con dichas pinturas restauradas.

Description

Dans une étendue désertique des alentours de Berlanga à Soria se trouve cet étrange édifice qui, en raison de ses caractéristiques particulières, semble appartenir à un autre temps, un autre espace où les deux à la fois. En effet, tout y est surprenant: sa discrète image extérieure, sa complexe structure intérieure et ses restes de peinture qui, après une triste histoire d’achat et vente et de tribunaux, furent répartis entre plusieurs musées nord-américains et le Musée du Prado. Fut déclaré Monument National en 1917.


En arrivant à proximité, nous nous trouvons d’abord devant une construction austère et carrée, située sur le côté nord d’une petite colline, avec un toit à quatre versants,San Baudelio de Berlanga: En un páramo reseco encontramos este edificio de discreta imagen exterior.deux portes, l’une sur le mur nord, en arc double en fer à cheval prolongé de 1/3 de rayon , et l’autre, en fer à cheval en plein cintre, à l’ouest, toutes deux situées à une hauteur différente, selon la dénivellation du terrain. Un autre cube, plus petit, est adossé à cette nef sur sa face est, couvert d’une toiture à deux versants. Tout l’édifice est formé de murs épais en maçonnerie, sur une base de grandes pierres de taille, et sans aucune décoration extérieure; il n’y a ni auvent, ni modillons, ni d”autre détail qui pourrait attirer l’attention dans ce petit édifice qui ne dispose que de deux fenêtres en arc en fer à cheval, très étroites et ébrasées à l’intérieur, l’une dans l’abside et l’autre à une plus grande hauteur dans la partie occidentale de la face nord.


Cependant , lorsque nous pénétrons à l’intérieur, tout change. Nous passons d’un paysage sec et dur à un oasis surprenant, composé d’un énorme palmier central dont les huit branches supportent la toiture à une grande hauteur et un ensemble de petits arcs en fer à cheval formant une palmeraie en miniature dans sa partie occidentale, avec sur son côté sud un accès à une grotte que l’on suppose être l’origine de la vie érémétique de la zone. Il y a sur cet ensemble un second étageSan Baudelio de Berlanga: Vista interior desde el ábsideoù se trouve une sorte de petite chapelle élevée à laquelle on accède de l’extérieur par la porte occidentale ou, de l’intérieur, par un escalier adossé au côté sud. Cependant, la moitié orientale de la nef est diaphane et communique,par cinq marches et à travers un arc en fer à cheval, avec une abside rectangulaire, un peu plus haute que le sol de la nef, couverte d’une voûte en demi-berceau et qui forme le deuxième cube de l’édifice. Tout cela est encore plus surprenant si nous y ajoutons les restes conservés de l’ensemble de peintures, pour la plupart à peu près de même date que celle de sa construction, qui décoraient jusqu’en 1925 pratiquement tous les espaces intérieurs de l’église.


Cette première impression nous indique déjà que nous nous trouvons face à un endroit spécial et fort différent des autres édifices haut-médiévaux espagnols, situé, en outre, sur une zone frontière qui fut l’objet d’avancées et de reculs de la ligne de conquête entre chrétiens et arabes pendant tout le Xème siècle et la plus grande partie du XIème, ce qui provoqua et continue à provoquer beaucoup de doutes sur la date possible de sa construction et le style et datation de ses peintures. En effet, nous avons devant nous le monument connu le moins wisigoth et en même temps de construction la plus arabe, supposé construit par les chrétiens, aux environs de l’an 1000, et dont la première référence écrite apparait dans les actes du “Concilio de Burgos” de 1136, mais dont nous n’avons aucune information quant à la date ou les responsables de sa construction ni sur les auteurs des trois séries de peintures parfaitement différenciées qui y furent trouvées.


Tout dans la structure intérieure de San Baudelio est d’une surprenante originalité. La nef principale est un cube de 8,50 sur 7,30m, avec une hauteur intérieure maximale de presque 10m, auquel est adossée une abside de 4,10m sur 3,60 et 6m de hauteur. Toute la nef est couverte d’une seule voûte “en carène” très rabaissée que supportent huit arcs en faux fer à cheval et tracé irrégulier qui émergent, appuyés sur des consoles, d’un grand pilierSan Baudelio de Berlanga: Planta y alzado según Gómez Morenocentral, de presque un mètre de diamètre, et aboutissent sur les sommets San Baudelio de Berlanga: Corte transversal según Oretego Fríaset les centres des côtés du rectangle qui forme la nef. Il s’agit d’une solution très peu habituelle, sans antécédents connus, dont nous ne trouvons qu’un seul autre exemple de même époque dans l’ermitage de Santa María de Peñalba à Arnedillo (La Rioja), bien que, dans ce cas, avec seulement quatre arcs, et, par la suite, dans certaines constructions attribuées aux templiers, comme l’église de la Vera Cruz de Ségovie ou la chapelle de Nuestra Señora del Monsagro en Asturies. Cependant nous y trouvons de très intéressantes similitudes avec d’autres monuments mozarabes, comme le fait que la projection horizontale de la voûte de San Baudelio soit identique à celle de chacune des deux absides de San Millán de Suso, bien que beaucoup plus grande, ce qui dans ce cas rendit obligatoire le pilier central. Une autre similitude intéressante est que les arcs qui terminent les angles, pour maintenir la sensation d’arc en fer à cheval, s’appuient sur des saillies en forme de quart de cylindre semblables aux quarts de pyramide échelonnée qui s’utilisent dans le même but dans Santiago de Peñalba. Nous pouvons aussi mettre en relief la curieuse ressemblance avec le petit ermitage de Saintes Céntola et Elena de Siero (Burgos) qui, malgré leurs grandes différences, ont en commun plusieurs caractéristiques: une seule nef et une abside, un seul type de construction, les absides, qui dans les deux cas sont de type wisigoth, de forme rectangulaire, avec un mur de chevet plat et une voûte en berceau, bien qu’elle soit en fer à cheval à Siero, le banc en pierre tout au long de tous les murs sauf celui du chevet et, surtout, la structure des arcs en fer à cheval de l’abside et la porte nord de San Baudelio, fort semblables à celle du chevet de l’ermitage, tous prolongés d’1/3 de rayon, prolongation qui se produit par l’utilisation d’une imposte qui ressort de l’arc, provoquant la forme en fer à cheval, caractéristiques plus courantes dans l’art wisigoth que dans le mozarabe.


Mais les surprises ne font que commencer. Face à l’abside, détail aussi exclusif de cette église, la moitié occidentale de la nef est occupée par un ensemble de trois rangées, chacune composées de six petites colonnes, qui supportent des arcs San Baudelio de Berlanga: Detalle del conjunto de arcos y columnas que forman la pequeña mezquitatrès irréguliers en fer à cheval. Il s’agit de colonnes cylindriques, sur de grandes plinthes cubiques, sans bases mais avec quelque décoration dans l’union avec la plinthe, et sans chapiteau, bien que la conjonction de plusieurs arcs sur chaque colonne fasse penser à une grande cimaise. Cet ensemble, qui donne la sensation de former une petite mosquée réduite de moins de deux mètres de haut, sans aucun antécédent dans l’art préroman espagnol, supporte par de petites voûtes, en carène aussi, entre les arcs, dans ce cas à cinq pans, un deuxième étage qui occupe une grande partie occidentale de l’église, fait qui a seulement comme antécédent la tribune qui se trouve à Santa Cristina de Lena. Cependant, à San Baudelio, l’interprétation de cet espace surélevé qui, en plus, dispose d’une haute balustrade, en partie reconstruite pendant les dernières restaurations, est plus complexe que dans le cas de l’église asturienne, son espace étant plus grand, et, outre les éléments que nous trouvons à Santa Elena, y compris l’escalier intérieur adossé dans ce cas sur le côté sud, une porte se trouve ici à l’extérieur, ainsi qu’une sorte d’oratoire, couvert aussi d’une voûte en berceau et avec accès par un arc en fer à cheval de seulement 1,8m de haut, qui avance du choeur au pilier central donnant lieu à une petite chapelle particulière à l’intérieur de l’église, orientée aussi à l’est, comme l’abside. Il n’y a non plus dans le préroman espagnol aucun antécédent de chapelles élevées de ce type, ce qui donna lieu à de différentes interprétations, comme par exemple qu’il pourrait s’agir d’une zone pour laïques ou d’un tabernacle pour des cérémonies privées de culte, mais pour le moment, nous ne savons pas quelle a pu être sa fonction.


Encore plus surprenant est un petit compartiment presque inaccessible qui se trouve dans le pilier central, juste au-dessus de la naissance des huit arcs qui supportent la voûte, utilisant ainsi l’ouverture créée par les arcs dans une zone où le pilier n’a plus le rôle de support. San Baudelio de Berlanga: Vista de la estructura bóveda alrededor del pilar centralLe résultat est un espace de forme cylindrique, d’environ un mètre de diamètre sur deux mètres de haut qui communique avec l’extérieur par huit petites fenêtres en arc en fer à cheval, d’environ 24cm de large, situées entre les grands arcs du support central, qui permettent d’observer l’intérieur couvert d’une coupole califale décorée avec soin, semblable à celles de la mosquée de Cordoue et celles du Cristo de la Luz de Tolède, formée par une double charpente de six nervures en arc en fer à cheval et de deux autres qui se croisent au centre. Une structure de ce genre n’a pas non plus de précédents, bien qu’on puisse essayer d’établir une relation avec les compartiments qui se trouvent au-dessus du chevet de quelques églises wisigothes et asturiennes et une fonction de protection -fort douteuse vu que le lieu est facilement accessible- d’objets de culte en cas de danger. Elle semble se rattacher davantage à la tradition orientale, conservée par la culture islamique, qui décorait avec beaucoup de soin quelques espaces peu visibles mais de profonde signification religieuse, ce qui indiquerait qu’elle aurait peut-être été utilisée pour la conservation des reliques de San Baudelio.


Une mention spéciale, mais aussi de difficile interprétation, mérite l’ensemble des peintures qui recouvrait toutes les superficies intérieures, distribué, aussi bien par ses caractéristiques que par sa situation dans l’église, en trois groupes très différents, le premier formé par une série d’animaux de technique très primitive, le second par un ensemble de scènes de chasse et en dernier une série de peintures romanes de thèmes religieux. Nous ferons d’ici peu une étude monographique de ce thème.


Conclusions

Si nous reconsidérons tout ce que nous avons vu jusqu’à présent, nous arrivons à la conclusion que, bien que son abside et ses arcs en fer à cheval pourraient être wisigoths, il ne fait aucun doute que nous nous trouvons devant une église de style mozarabe et de caractéristiques très spéciales, car elle est la seule à être formé uniquement d’une nef et une abside, avec la porte principale sur le côté nord et à deux étages à l’intérieur. De plus,il n’existe qu’une seule autre église de cette époque couverte d’une seule voûte supportée par des arcs qui s’appuient sur un pilier central. Elle représente aussi la construction mozarabe située le plus au sud à l’intérieur du territoire chrétien, mais en même temps elle est celle qui réunit le plus de caractéristiques de l’art islamique et nous pensons qu’il est important de souligner qu’il s’agit d’un édifice de structure très compliquée qui exigea des constructeurs très qualifiés sur le plan technique.

San Baudelio de Berlanga: Primer grupo de pinturas: Oso. Museo del Prado de Madrid.Le problème majeur pour établir une datation de San Baudelio se trouve dans la possible incompatibilité entre les caractéristiques du monument et sa date de construction généralement estimée, car celle-ci se base habituellement sur le fait que l’édifice devait être postérieur à la date de la reconquête définitive de la zone en 1060 par Fernando I. Pour cette raison , on considère généralement qu’il aurait été construit pendant la consolidation de la zone du Duero après la conquête de Tolède par Alfonso VI en 1085. Le problème est la profonde arabisation du monument, â une époque où la réforme de Cluny et l’art roman avaient déjà été introduits en Castille et Léon, où l’on avait officiellement cessé d”utiliser le rite mozarabe depuis 1071 et où les églises étaient construites dans tout le royaume dans le nouveau style, comme San Frutos del Duratón, la première église romane de San Isidoro de León, dont n’est conservée que la crypte, ou l’église de San Miguel à San Esteban de Gormaz, entre autres.

Comme nous le verrons dans l’annexe correspondant, il se passe aussi quelque chose de semblable pour une partie des peintures qui se trouvaient à l’intérieur. En raison de ces contradictions importantes,- bien que, comme nous l’avons déjà expliqué dans d’autres points de ce travail, nous considérons fondamental pour dater un monument, l’analyse de sa situation historique, de son environnement d’espace et de temps, si spécial dans ce cas-, nous pensons qu’il n’y a pas d’information suffisante pour confirmer une date de création si tardive pour San Baudelio et partie de ses peintures. Par conséquent, il nous semble qu’il conviendrait d’étudier d’un autre point de vue son rapport avec l’environnement artistique et historique pour essayer de réviser une datation si peu en accord avec les caractéristiques de l’édifice.

Si nous acceptons que San Baudelio de Berlanga soit une église mozarabe, il nous est très difficile de comprendre qu’elle ait été construite plus de cent ans après les derniers exemples connus de ce style. En outre, si nous analysons le rapport église-état dans la deuxième moitié du XIème siècle, il nous parait aussi peu probable qu’un monastère de cette taille et surtout, de cette complexité, puisse avoir été construit à une époque où aussi bien la monarchie castillane que la navarre appuyaient la réforme grégorienne et celle de Cluny, à tel point que les premiers évêques d’Osma et Siguenza, qui se disputaient notre monastère, provenaient de Cluny; nous pouvons donc imaginer qu’ils n’auraient pas accepté la construction d”une église de ces caractéristiques dans leurs diocèses après avoir interdit l’utilisation du rite mozarabe dans les deux royaumes.

Il nous semble beaucoup plus raisonnable de proposer pour ce monastère un parcours historique semblable à celui de tant d’autres de San Baudelio de Berlanga: Detalle del muro sur. Pinturas y escaleramême époque qui furent construits dans des lieux isolés autour d’une grotte et près d’un cours d’eau, créés en général tout au long des VIème et VIIème siècles par des groupes d’ermites qui se retiraient pour prier dans un environnement de ce genre, et qui, dans beaucoup de cas, se maintenaient actifs et ignorés pendant la domination arabe, formant pendant le repeuplement de petits noeuds de vie monastique autour d’une église construite dans cette nouvelle phase, comme San Millán de Suso, Santiago de Peñalba, San Frutos del Duratón et tant d’autres.

Dans cette direction, nous pouvons considérer aussi dans ce cas que le plus probable serait que, encore à l’époque wisigothe, un petit groupe d’ermites se soit retiré dans une grotte d’une zone quelconque et habitée, et ait fondé un monastère en honneur à San Baudelio, martyr de Nimes, dont le culte était alors très étendu en Espagne.  Comme dans d’autres cas déjà mentionnés dont nous connaissons l’histoire, le plus probable aurait été que, jusqu’à la conquête arabe, la communauté se serait peu développée et aurait maintenu le même status pendant la domination arabe, passant à la vie monastique et construisant le monastère au début du repeuplement. Mais, dans ce cas, nous nous trouvons devant une situation spéciale, car il s’agit d’une zone qui fut conquise et perdue plusieurs fois par les chrétiens tout au long des Xème et XIême siècles. En fait, elle fut repeuplée pour la première fois en 912 pendant le règne de García I de Léon et, depuis lors et jusqu’à la reconquête définitive par Fernando I en 1060, elle passa par plusieurs mains, restant sous la domination chrétienne pendant de longues, bien que peu sûres, périodes.

A notre avis, étant donné les caractéristiques spéciales de San Baudelio, il conviendrait d’analyser plus attentivement la possibilité qu’il ait été construit au moment de l’un de ces changements de domaine, peut-être pendant San baudelio de Berlaga. Detalle de restos de las pinturas arrancadas en 1922.le repeuplement de 912, moment où se produisait une forte émigration de mozarabes aux territoires chrétiens, ce qui expliquerait la qualité technique et la grande influence de l’art islamique dans la structure d’un édifice si significatif. Cette datation résoud tous les problèmes stylistiques et historiques de l’édifice, sauf la présence d’arcs en fer à cheval doubles, qui n”apparaissent dans aucun autre monument préroman et sont habituels dans ceux en plein cintre du roman. En outre, elle prolonge les possibles délais de datation de ses différentes séries de peintures, alors que nous continuons à nous demander comment elle apu survivre sans être détruite pendant les invasions successives à l’époque d’Abderrahman III, Alhaquem II et, surtout, pendant les terribles campagnes d’Almanzor. La réponse peut se trouver dans le manque d’informations sur le monastère à cette époque. Peut-être grâce à sa situation et son importance limitée, il put survivre, comme tant d’autres, contrairement à ce qui arriva avec les grands centres de culte chrétien comme San Millán de la Cogolla ou Compostela.

Quoi qu’il en soit, indépendamment des opinions sur son origine, il s’agit d’un monument très beau et original, qui, par ses caractéristiques est un autre représentant de l’éclectisme de l’art espagnol de cette époque, et nous considérons obligatoire sa visite en tant qu’élément fondamental pour connaitre l’Art Préroman Espagnol. De notre côté, en ce qui concerne ces thèmes, nous offrons notre forum pour ceux qui désireraient apporter ou suggérer toute sorte d’idées sur la création ou histoire de ce monastère.

Autres informations intéressantes

Moyen d’accès: A la sortie de Soria, prendre la SO_100, direction Berlanga de Duero. A Berlanga, prendre la SO-152 vers Caltojar. Avant d’arriver, déviation à droite, par la SO-P-4153, pendant 790m jusqu’à San Baudelio. Total 59,6kms.
Coordonnées GPS: 41º25′ 5,72″N 2º 47’24,49″W.
Téléphone d’Information: 975.22.13.97 ( musée Numantino) 42367 Casillas de Berlanga (Soria)
Horaire des visites: Du 1er avril au 30 septembre: de 10h00 à 14h00 et de 16h00 à 20h00.
Du 1er octobre au 31 mars: de 10h00 à 14h00 et de 16h00 à 18h00
Dernier accès 15 min avant.
Dimanche et jours fériés ouverts seulement le matin, lundi et mardi FERMÉS
Tarifs: 0,60 ?. Entrée gratuite samedi et dimanche.

 

Bibliographie

Imagen del Arte Mozárabe; José Fernández Arenas
SUMMA ARTIS: Tomo VIII y XXII
Historia de España de Menéndez Pidal: Tomos VI y VII*
L’Art Preroman Hispanique – L’Art Mozarabe: ZODIAQUE
San Baudelio de Berlanga: Agustín Escolano Benito

Portails

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