Bien qu'elle n'ait actuellement qu'une seule nef, elle se composait à l'origine de trois nefs séparées par des arcs en fer à cheval et avec une couverture plane. Elle conserve trois absides avec des arcs d'entrée et un plan en forme de fer à cheval, couvertes de voûtes en cul-de-four en brique, inscrites dans un chevet plat où seule fait un peu saillie l'abside centrale. C'est la moins islamisée de toutes les basiliques construites au Xème siècle.

Magnifique exemple d’église cruciforme, sans doute la première construite de ce genre. En forme de croix grecque, entièrement voûtée, à une seule nef, une abside et un portique formant deux extrémités symëtriques moins hautes et moins larges, et une nef de transept de même hauteur, formant avec la nef principale un ensemble très harmonieux. A leur intersection se trouve une lanterne couverte d’un toit à deux versants.

Edificada hacia el 940 por San Rosendo en memoria de su hermano Froila, este pequeño oratorio de 8’5×3’85x6m. construido en grandes bloques de granito bien cortados, consta de tres diminutas zonas comunicadas mediante arcos de herradura.: un vestíbulo cubierto con bóveda de herradura, una nave central de bóveda de aristas, ambos rectangulares y un ábside con forma de heradura inscrito en un cuadrado con bóveda de cascos.

Petit ermitage rectangulaire, construit sans doute au XVème siècle, et où furent réutilisés les éléments d’une ou plusieurs églises haut- médiévales, parmi lesquels se détache un magnifique arc en fer à cheval de style wisigoth, supporté par des chapiteaux, et des impostes avec une décoration qui rappelle l’art ramirense, sur des colonnes décorées et des bases composées. Très intéressante aussi une fenêtre de type asturien avec une très belle jalousie en pierre.

Il s’agit d’un petit édifice, avec les vestiges de trois nefs, sans doute d’époque wisigothe, bien que son origine puisse être antérieure. Le mur de l’abside est la zone la plus intéressante, construit en grandes pierres de taille en granit de tradition romaine, similaire à Santa Eulalia de Bóveda, qui conserve deux fenêtres géminées avec “alfiz” et des arcs en fer à cheval très fermé, de claire ascendance mozarabe.

A la fin du XIIe siècle, les chanoines réguliers de Saint-Augustin commencent l’actuelle église de Santa Marina de Aguas Santas en l’honneur de la sainte martyrisée au S. II et dont la belle histoire se poursuit dans tout l’environnement, mais ne la conclut pas. Ce seront les Templiers qui le feront au XIIIe siècle. Le temple est de plan basilical de trois nefs recouvertes d’un plafond à caissons en bois sur des arcs fajones et de trois absides semi-circulaires, beaucoup plus central que les absides latérales.

Cette église, construite en grandes pierres de taille en granit dans la première moitié du Xème siècle, se compose d’une seule nef et avait une abside en forme de fer à cheval inscrite dans un carré, aujourd’hui disparue. Très reconstruite à des époques différentes, elle ne conserve que deux portes latérales en forme de fer à cheval avec “alfiz”, d’aspect clairement mozarabe et les vestiges de deux fenêtres originales en arc en fer à cheval dans l’actuelle façade principale.

La première pierre de l’an 573 est apparue, il devait donc s’agir à l’origine d’un ermitage chrétien souabe. À la fin du IXe siècle, le monastère a été refondé, auquel Alphonse III a accordé des privilèges. Il se compose de trois chapelles creusées dans la roche, communiquant entre elles, avec des arcs outrepassés sur des colonnes attenantes et des chapiteaux taillés dans la même roche ; Il conserve les autels primitifs en forme de tables et également ornés d’arcs outrepassés.

Iglesia románica cruciforme, de una sola nave, transepto y triple cabecera, situada en un paisaje excepcional en el cañón del río Sil. Conserva parte de un claustro y todo el conjunto posee una magnífica decoración.

Consagrada en el siglo XII, la iglesia de Santo Estevo es uno de los más bellos ejemplares del románico gallego. Su planta, espaciosa y proporcionada, es basilical y está dividida en tres naves de cuatro tramos, con los tres ábsides en la cabecera. Ésta y el tramo siguiente corresponden al románico, mientras que los dos posteriores se asocian a un gótico avanzado