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Eglise cruciforme, construite sur les mêmes plans que Sta. Comba de Bande et Sta Mª de Melque, bien que nous sachions par les restes trouvés, qu’elle avait une décoration beaucoup plus riche, associée à l’art  aulique tolèdan.Malheureusement il ne nous reste que les vestiges de ses murs, peut-être à cause d’erreurs dans ses fondations sur un sol plat en granit.

Il est possible que nous nous trouvions face au monument le plus important de toute l’époque wisigothe qui ait subsisté. De structure cruciforme, de trois nefs et une seule abside, il inclut dans sa structure originale les compartiments latéraux que nous considérons ajoutés par la suite à ces nefs. Il contient aussi une magnifique décoration sculptée.

The Ruphianense monastery is the second foundation of the Fructuoso Goth in his possessions in El Bierzo, carried out around the year 646, . This monastery, according to the inscription preserved in the ‘Cloister of the Arches’, was enlarged in the 7th century by San Valerio and restored in the 10th century by San Genadio, Bishop of Astorga. From then on, and until the 19th century, it was one of the most important monasteries in the Hispanic northwest and one of the most important spiritual centers in Hispania.

Dans l’ensemble
épiscopal des trois églises deTarrasa, celle-ci est est située le plus au nord
et serait sans doute l’église paroissiale. Il s’agit de celle située le plus au nord avec, à
l’origine, une forme basilicale de trois nefs qui disparurent par la suite à
partir de la deuxième travée, bien que pendant la restauration d’époque romane
seule la nef centrale fut reconstruite, formant avec la première travée des nefs
latérales, comme à Santa María, une sorte de transept.

Edifice d’une seule nef, avec une abside carrée moins large qui fut par la suite substituée par l’actuelle. Ses hautes fenêtres jumelles surprennent, avec des arcs en fer à cheval sur des impostes, et plus surprenants encore sont les chapiteaux conservés à l’intérieur, taillés en biseau, fort habituel dans la sculpture wisigothe, mais qui incluent aussi des têtes beaucoup plus en relief. Fut sans doute un édifice civil, converti plus tard en église.

Santa Cecilia de Els Altimiris est un complexe archéologique en fouille depuis 2004 qui, à la lumière des données récupérées, est interprété comme un établissement monastique des Ve-VIIIe et IXe-XIe siècles. Il est situé dans la chaîne de montagnes pré-pyrénéennes du Montsec d’Ares (Lleida), sur le sommet triangulaire d’un contrefort de 900 m d’altitude et dans un environnement dominé par des forêts et des pâturages. Tout cela fait partie de la Réserve Naturelle Partielle du Congost de Mont-rebei. L’ensemble est composé d’une église à nef unique et à abside semi-circulaire entourée d’une série de salles fermées autour de l’édifice sacré.

Magnifique exemple d’église cruciforme, sans doute la première construite de ce genre. En forme de croix grecque, entièrement voûtée, à une seule nef, une abside et un portique formant deux extrémités symëtriques moins hautes et moins larges, et une nef de transept de même hauteur, formant avec la nef principale un ensemble très harmonieux. A leur intersection se trouve une lanterne couverte d’un toit à deux versants.

Edifice presque carré, à double voûte, construit comme un temple païen dédié à un dieu de l’eau et reconverti par la suite en une église chrétienne de type basilical. Très intéressante car elle renferme le premier arc en fer à cheval comme élément structurel en Espagne et par sa décoration barbare taillée à l’extérieur et les peintures de type romain à l’intérieur.

Cette église, non documentée jusqu’en 1980, se compose de trois nefs très étroites, séparées par des piliers aujourd’hui disparus, un choeur central étroit qui communique avec un transept et troisabsides rectangulaires indépendantes rappelant beaucoup celles de S. Juan de Baños. Elle disposait de portiques latéraux avec des compartiments monastiques, formant une structure très complexe.

Dans un environnement encore peu développé aujourd’hui, juste à côté du cimetière de la ville de Martorell, les vestiges de l’église actuellement connue sous le nom de Santa Margarida del Priorat de Sant Genís de Rocafort, d’une construction médiévale, datant de son temps, sont préservés. Fondateur de l’Antiquité tardive. C’est un édifice formé d’une nef rectangulaire de 9 m. large et à tête tripartite, formée par une abside en fer à cheval à l’intérieur et trapézoïdale à l’extérieur, avec deux pièces latérales attenantes.

Il s’agit d’une basilique de trois nefs, avec un chevet rectangulaire complexe, construite au VIème siècle sur un mausolée romain de l’ancienne métropole de Tricio la Grande, ce qui oriente son chevet vers l’occident. Dans ce but, des fragments d’énormes colonnes corinthiennes sur lesquelles furent ajoutés des arcs en fer à cheval en pierre de tuffeau, furent réutilisés.

‘Représente le monument le plus conflictif de tout le préroman espagnol: alors que par sa structure il s’agit clairement d’une église de type cruciforme, même ses frontons rappellent ceux de Montelios, son système de couvertures et  surtout sa décoration indiquent l’époque mozarabe. Beaucoup de motifs, aussi bien d’un point de vue historique  qu’architectonique nous recommande de l » »’dans la période wisigothe.

Basilique de trois nefs et trois absides rectangulaires avec un mur de chevet plat, renfermant aussi une abside semi-circulaire sur le côté opposé, où il y avait un tombeau. La porte d’accès se trouve sur le côté sud où il y avait un petit porche. D’environ 20m de long sur 10 de large, il est construit en maçonnerie avec quelques matériaux réutilisés. Il y a des doutes sur sa datation, bien qu’une pierre tombale informe de sa consécration catholique vers l’an 601.

Dans l’ensemble épiscopal des trois églises qui se trouvent à Tarrasa, celle-ci serait la cathédrale, dédiée à la Sainte Vierge. Construite au VIIème siècle sur une église antérieure, c’était une basilique de trois nefs et une abside dont il ne nous reste que l’abside, la nef centrale et la première travée des nefs latérales qui forment actuellement une sorte de transept.

Petit ermitage, situé à Valdelateja, près de Siero, composé d’un chevet de plan carré et une petite nef plus large, avec une couverture en bois, séparés par un arc d’accès en forme de fer à cheval peu prononcé, sur des impostes, avec deux petites niches sur les côtés. Le chevet est couvert d’une voûte en berceau, en forme aussi de fer à cheval et dispose d’une étroite fenêtre terminée en arc monolithe de même type.

El tesoro de Guarrazar es un conjunto de piezas de orfebrería visigoda del siglo VII compuesto por coronas votivas, cruces, colgantes y fragmentos sueltos, de oro, gemas y vidrios. Su finalidad era de donación regia a una iglesia, en este caso en el contexto del yacimiento de Guarrazar, en Guadamur, a 11 km de Toledo.

El conjunto de Torredonjimeno, descubierto en 1926 en el paraje de la Majada de Garañón (Torredonjimeno, Jaén), está considerado como un conjunto gemelo al de Guarrazar, fechable a finales del siglo VII, y compuesto por fragmentos de cruces de diferentes tipos, restos de coronas, colgantes y vajilla.