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Sa construction peut être mise en relation avec l’expansion, qui entreprend le royaume des Asturies, au milieu du 8ème siècle vers les terres voisines, comme indiqué dans les chroniques d’Alphonse III. Il a joué un rôle très important dans la défense, le contrôle et la consolidation des territoires chrétiens, au début de son expansion.

A 20 kms de Burgos se trouve cet ermitage qui semble être
d’origine paléochrétienne, reconstruit sans doute pendant le premier
repeuplement de cette zone, du temps d’Alfonso IIIel Magno, car il conserve de
multiples détails confirmant sa relation avec l’architecture asturienne, malgré
une série d’importantes modifications dans les premiers temps de l’art roman en
Espagne et au XVIIIème siècle.

Nous pouvons voir, dans l’environnement de Pampelune, quelques constructions de claire influence asturienne, en raison sans doute des bonnes relations entre García Jimenez et Alfonso III, marié avec sa fille Jimena. Un splendide ‘hórreo'(grenier surélevé) se conserve encore à Iracheta, en petites pierres de taille, supporté par dix arcs en plein cintre et dont la structure rappelle Santa María del Naranco, bien qu’il soit couvert d’une toiture plane à deux versants.

Construite en pierre de taille irrégulière comprenant des pièces réutilisées, elle se compose d’une seule nef rectangulaire et d’une abside droite avec la porte sur le côté sud, bien que les restes d’un ancien accès par l’ouest, aujourd’hui aveuglé, soient conservés. Tout est en bois et en tuile. Son intérieur est dépourvu de toute ornementation, mais il est très intéressant celui de l’extérieur de l’abside formée d’arcatures en plein cintre sur chapiteaux et colonnes, qui rappellent celles qui existent à l’intérieur des absides de certaines églises asturiennes.

Représente le seul édifice civil construit en tant qu?utilité publique de l?art asturien conservé. Alfonso III en ordonna la construction non loin de la muraille, dans un lieu où se trouvait une source d’eau potable. De plan rectangulaire de 4m de large, en forme de kiosque , avec un arc central en plein cintre.Construite en pierres de taille sablonneuses, elle est surmontée d’un fronton triangulaire terminé par une croix asturienne de la Victoire.

Nous pouvons voir, dans l’environnement de Pampelune, quelques constructions de claire influence asturienne, en raison sans doute des bonnes relations entre García Jimenez et Alfonso III, marié avec sa fille Jimena. Un splendide ‘hórreo’ (grenier surélevé) se conserve encore à Iracheta, en petites pierres de taille, supporté par dix arcs en plein cintre et dont la structure rappelle Santa María del Naranco, bien qu’il soit couvert d’une toiture plane à deux versants.

Détruite par un incendie en 1513, on ne conserve que sa structure générale et l’extérieur de la partie supérieure de l’abside. Elle avait un plan basilical de trois nefs séparées de chaque côté par des piliers carrés. Très intéressante la fenêtre de trois arcs en plein cintre encadrée dans un ‘alfiz’ qui, bien que l’on ait pu penser qu’il fut ajouté par la suite pendant l’époque mozarabe, est actuellement considéré comme l’original étant donné qu’il y a d’autres fenêtres avec ‘alfiz’ d’époque wisigothe et asturienne.

Petite basilique de trois nefs et trois absides pour un couvent fondé par Alfonso III en 891. Les nefs sont séparées par quatre arcs en plein cintre sur des piliers sans impostes. Les nefs sont couvertes d?une toiture en bois et les chapelles des absides par une voûte en berceau. Intéressantes peintures mozarabes dans le sanctuaire.

Petit ermitage rectangulaire, construit sans doute au XVème siècle, et où furent réutilisés les éléments d’une ou plusieurs églises haut- médiévales, parmi lesquels se détache un magnifique arc en fer à cheval de style wisigoth, supporté par des chapiteaux, et des impostes avec une décoration qui rappelle l’art ramirense, sur des colonnes décorées et des bases composées. Très intéressante aussi une fenêtre de type asturien avec une très belle jalousie en pierre.

Costruite à 1km d’Oviedo, elle a un plan basilical de trois nefs, séparées par des arcs en plein cintre sur des piliers carrés avec couverture en bois, la centrale à deux versants et les latérales à un versant. Elle a une nef transversale, plus haute que la centrale et avec le même type de couverture, un chevet droit de trois absides voûtées , avec une pièce secrète sut la centrale et un vestibule avec deux pièces latérales. Elle conserve de très intéressants restes de peinture.

La iglesia de San Lorenzo de Cortina destaca por su ventana geminada altomedieval que adorna la fachada oeste de la capilla actual. Es un bloque de piedra caliza rectangular con las esquinas superiores redondeadas, dos vanos y ancho parteluz cuadrangular. La jamba derecha es ligeramente cóncava. Los vanos coronan en dos anillos de contorno sogueado.

De plan basilical de trois nefs mais de pur style ‘ramirense’, très différente des églises de la période antérieure. Il n’en reste que la troisième partie, le reste s’étant effondré au Moyen-Age lors d’un éboulement. Entièrement voûtée avec un système très complexe. Les nefs sont séparées par des colonnes. Elle conserve une tribune sur le portique et une riche décoration.

Il est été dans ses origines une communauté familiale et double fondé au IXe ou Xe siècle, qui apparaît cité dans un document de l’année 972 et changé en monastère bénédictin le 1073. Sa structure, basilical avec trois nefs séparés par des arcatures de point moyen sur des bornes et avec une couverture plate, et trois absides rectangulaires terminées dans un testero plat, dont la centrale consiste de deux tronçons et de plus grande taille en ce que les latéraux, c’est clairement celle-là des basiliques prerrománicas asturiennes et communique à l’église du Xe siècle.

Plan basilical de trois nefs de quatre tronçons, séparés par des arcs en plein cintre surélevés sur des piliers carrés , avec une toiture en bois, la centrale  à deux versants et les latérales à un versant. Elle a un chevet droit de trois absides voûtées avec une pièce secrète sur la centrale et un vestibule qui aurait sans doute eu deux pièces latérales.

Bien qu’elle fur consacrée en 921, elle est considérée, par ses caractéristiques, de l’époque d’Alfonso III. De plan basilical, avec trois nefs de trois travées séparées par des arcs en plein cintre en brique sur des piliers carrés, un chevet tripartite plat, la chapelle centrale un peu plus grande avec une arcature aveugle sur des colonnes surmontées de chapiteaux corinthiens, et des restes de peintures.

Petite basilique de trois nefs et trois absides pour un couvent fondé par Alfonso III en 891. Les nefs sont séparées par quatre arcs en plein cintre sur des piliers sans impostes. Les nefs sont couvertes d’une toiture en bois et les chapelles des absides par une voûte en berceau. Intéressantes peintures mozarabes dans le sanctuaire.

D’une seule nef rectangulaire, qui comprend le presbytère élevé avec une iconostase de type mozarabe et une tribune sur le porche. Elle possède quatre annexes rectangulaires: un sanctuaire, un vestibule et deux sacristies latérales. Entièrement couverte par une voûte en berceau avec contreforts. Décoration de plusieurs époques: wisigothe, “ramirense” et mozarabe.

Son plan est un rectangle dans lequel sont inclus une nef,
un chevet et un vestibule, tous trois tripartites et symétriques. Elle avait en
plus deux porches latéraux dont il ne reste que les vestiges de l’un d’eux sur
le côté sud. Toute l’église est couverte d’une voûte en berceau en brique.

Il s’agit d’un palais de plaisance, composé de deux nefs superposées de plan rectangulaire, toutes deux voûtées, la supérieure flanquée de deux miradors formant deux salles à la nef inférieure. Couvert de voûtes en berceau sur des arcs parpaings qui correspondent à des contreforts à l’extérieur et avec une magnifique décoration sculptée en grande harmonie avec l’édifice, représente un grand changement de style avec les monuments antérieurs.